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La question de la santé mentale des étrangers primo-arrivants et des mineurs étrangers non accompagnés est trop souvent négligée parce que tabou dans notre pays.
Pour des raisons évidentes d’humanité, de santé publique, mais aussi de détection des comportements à risques, nous aurions pourtant tout intérêt à déstigmatiser le sujet et à pleinement l’intégrer dans un parcours de soin global.
Dans la continuité du travail réalisé lors de mon précédent mandat, j’ai redéposé ma proposition de loi visant à systématiser la réalisation d’un entretien psychologique pour ces personnes.
